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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 24), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 24 (Octobre/Novembre/Décembre (...)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 24 : gabelle ; paratonnerre ; perruques ; fées des houles ; sucre de betterave ; monopole des boutonniers...
Numéro 24
(Octobre/Novembre/Décembre 2007)
 
Au Moyen Age, plusieurs conciles de l’Église fixèrent notamment, qui l’heure du baptême, qui les personnes à même de tenir l’enfant sur les fonts, qui les présents offerts, qui les relations futures entre parrains et baptisés. C’était autrefois l’usage, dans plusieurs églises de France, que les prêtres ne baptisassent qu’à jeun et à l’heure de nones (trois (...)
Publié le dimanche 17 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

L’hypothèse émise par plusieurs savants du XVIIIe siècle selon laquelle la foudre, longtemps assimilée à l’ire divine, aurait une origine électrique, si elle suscita ironie en Angleterre, donna lieu en (...)
 
A la demande de Buffon, Dalibard avait élevé dans son jardin de Marly, une verge de fer d’un pouce environ de diamètre, de quarante pieds de longueur, et terminée en pointe à son extrémité supérieure. (...)
 
Suite à l’installation fin mai 1780 par M. de Vissery de Boisvallé, habitant Saint-Omer, d’un conducteur électrique au-dessus de sa maison, dans la rue du Marché aux Herbes, les échevins firent droit à (...)
 
Les savants mirent les langues anciennes, la critique et la raison à la torture pour percer l’étymologie de Rouen dont le nom, qui serait inspiré de ceux d’une divinité celte, d’un roi des Gaules ou (...)
 
Orderic Vital, après avoir mentionné comment Henry Ier fit bâtir, dans un lieu nommé le vieux Rouen, un château que, par mépris pour la comtesse Hedvise, il appela d’un nom qui signifiait vainqueur de (...)
 
En 1914, le docteur Bourcet livrait les résultats de son enquête bibliographique au sujet de l’âge de la Terre. On pouvait hasarder le chiffre de « quatre mille ans », réminiscence involontaire des (...)
 
En 1737 parut l’Almanach du Diable, contenant des prédictions très curieuses et absolument infaillibles, titre enfermé dans un cartouche gravé, soutenu par un diable, et sous lequel est représentée (...)
 
Si la ville de Nogent-le-Rotrou conserva jusqu’à la fin du XIXe siècle des vestiges de son antique industrie des étamines, serges et droguets, qui occupait, au moment de sa prospérité, plusieurs (...)
 
Objet de l’animadversion générale dès son avènement, synonyme d’oppression fiscale favorisant révoltes et contrebande, la gabelle, impôt sur une denrée « incorporée au domaine du roi » que la population (...)
 
Dès son arrivée au pouvoir, Colbert conçut le projet de faire du sel un des grands revenus de l’Etat. Pour cela il s’agissait d’imposer la gabelle d’une façon uniforme, en anéantissant peu à peu les (...)
 
Les embarras du Directoire lui suggérèrent un moment l’idée de soumettre de nouveau le sel à l’impôt ; mais le Conseil des Anciens, dans sa séance du 23 janvier 1799, déclara l’impôt du sel (...)
 
Pratiqué de longue date, l’ajout de cheveux étrangers fut vite conspué par l’Eglise, mais connut ses heures de gloire lorsqu’une calvitie précoce incitant Louis XIII à adopter la perruque, la mode gagna (...)
 
Malgré leur simplicité, les perruques ecclésiastiques eurent le don de déplaire aux outrés d’alors : on s’avisa de les regarder comme de vrais bonnets capables de porter atteinte à la disposition des (...)
 
Au commencement de la Régence, la perruque à crinière commença à être corrigée dans ce qu’elle avait de plus incommode par des attaches de ruban, au moyen desquelles on la sépara en trois touffes. Les (...)
 
Débutant en août et se tenant un mois, la foire Saint-Ovide, née en 1665 d’un différend opposant le pape et Louis XIV, bat son plein un siècle plus tard et constitue alors un lieu de divertissement en (...)
 
On vit en 1771 à la foire Saint-Ovide, dans le café du sieur Valindin, un concert composé d’aveugles, spectacle bientôt recherché par les plaisants de cette époque : Grand concert extraordinaire exécuté (...)
 
Au XVIe siècle encore, certains estimaient à 1 700 000 le nombre de communes de France, y adossant un projet de taxe sur les villes et villages qui leur assurerait les fonds nécessaires pour (...)
 
Du cerf de 3456 ans qui serait né avant la création du monde, au brochet de 267 ans qu’on retrouva portant le collier dont l’avait serti Frédéric II, certains animaux passèrent autrefois pour (...)
 
A la fin du XIXe siècle, on s’interrogeait encore sur la longévité de la baleine : l’animal ne pouvant guère être conservé en captivité - les grosses espèces tout au moins -, il était malaisé d’obtenir (...)
 
Assez importante pour former l’objet d’un titre spécial dans les Registres des métiers au XIIIe siècle, la corporation des boutonniers se plie aux caprices de la mode, ornant tantôt pourpoints et (...)
 
Bien que les statuts de la corporation lui accordassent le monopole de tous les boutons fabriqués « au crochet, au doigt, à l’aiguille et au dé », les tailleurs et les fripiers avaient pris l’habitude (...)
 
Un temps à la mode, les boutons en forme d’olives furent portés communément sur les habits, avant de n’être utilisés que pour retenir les pentes de lit et attacher les rideaux. Les dames en (...)
 
Après l’édit de 1682 relatif à la punition des maléfices, le nombre de sorciers diminua sensiblement en France, mais il restait encore, dans la Brie, aux environs de Paris, une malheureuse cabale de (...)
 
On ne saurait dire combien fut grand le nombre des docteurs sans diplôme, qui prescrivaient des remèdes et se prononçaient sur les maladies ; mais Joubert, raconte que « le duc de Ferrare, Alphonse (...)
 
On sait quelle importance on attachait autrefois aux tentatives d’envoûtement. Un roi aussi superstitieux que Louis XI ne pouvait rester indifférent aux actes de ce genre qu’on lui rapportait. Avant (...)
 
Introduite en France peu avant 1600, la betterave, dont les propriétés sucrières ne sont sérieusement mises en évidence que deux siècles plus tard, devient l’objet de toutes les attentions commerciales (...)
 
Les décrets impériaux de 1811 et 1812 concernant le sucre de betterave n’eurent pas l’effet escompté dans le département de la Côte-d’Or. Les autorités locales, loin de seconder les efforts des (...)
 
A la chute de l’Empire, aucune question économique n’était plus importante à Nantes et dans quelques villes portuaires que celle des sucres. Une lutte s’engagea entre les raffineries de la variété (...)
 
Douées d’un pouvoir surnaturel et d’une immortalité compromise par le sel, les fées des Houles, qui élisaient domicile dans des grottes peu accessibles d’où elles ne sortaient plus volontiers la nuit que (...)
 
A l’extrémité de la commune de Saint-Suliac est une grotte appelée l’antre de la Fée du Bec du Puy. A sa voix jadis, les vents soufflaient moins fort, les flots se calmaient, et la mer devenait (...)
 
Forcés de fuir sous la Terreur, les Frères Chartreux de Bordeaux, installés depuis le XVe siècle, auraient pris soin de mettre à l’abri des pillards leur immense fortune faite de statues, meubles et (...)
 
S’il ne fut pas profané pendant la Révolution, un caveau des Chartreux construit sous la grande nef de l’église et qui leur était réservé, fut visité en 1850. Les Chartreux furent trouvés rangés en chœur, (...)
 
Si c’est à Charles Tellier que l’on dut, à la fin du XIXe siècle, la possibilité de conserver plusieurs mois des denrées par le froid et partant, de les transporter d’un continent à un autre, la France (...)
 
Admise sous l’Ancien Régime, la recherche de la paternité ne visait pas tant à atteindre le séducteur ou à empêcher les infanticides clandestins, qu’à sauver l’âme d’un chrétien à naître - comme le (...)
 
Dans un acte de 1448, une fille de 22 ans comparaît, avec un habitant de Valenciennes, devant les jurés de Cattel et déclare qu’elle « s’était tellement énamourée et abandonnée au sieur comparant que (...)
 
Anne Bougier, célibataire de 22 ans, ayant accouché, le 15 août 1723, d’un enfant mort, avait été poursuivie et mise en prison sur la déclaration de la sage-femme. Atteinte et convaincue d’avoir tenu sa (...)
 
Au Moyen Age, plusieurs conciles de l’Église fixèrent notamment, qui l’heure du baptême, qui les personnes à même de tenir l’enfant sur les fonts, qui les présents offerts, qui les relations futures (...)