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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 16), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 16 (Octobre/Novembre/Décembre (...)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 16 : averses de grenouilles ; barbe et moustache ; l’abbé Faria ; fête Sainte-Clotilde ; cuiller et fourchette...
Numéro 16
(Octobre/Novembre/Décembre 2005)
 
En 1736, le Procureur du roi ayant été informé que « depuis quelque temps il s’est répandu un bruit dans le public, et surtout parmi les artisans et gens de métier, domestiques ou autres personnes du peuple, au sujet des cadavres qui sont pêchés dans la rivière et trouvés...
Publié le jeudi 14 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Lorsque les tanneurs obtiennent leurs premiers statuts au XIVe siècle, confection et commerce du cuir constituent une activité florissante, bientôt mise à mal par la fraude que les amendes et la (...)
 
On doit la première Halle aux cuirs à saint Louis, qui l’institua à Paris dans le quartier des Innocents, rue de la Lingerie. Bien que lieu d’exposition obligatoire avant la mise en vente, cette halle (...)
 
Vers la fin du règne de Louis XV, des savants s’essayèrent au tannage de la peau humaine, notamment dans les laboratoires du château de Meudon d’où sortirent, affirme Valmont de Bomare dans son (...)
 
Connues des Anciens, cuillers et fourchettes n’apparaissent pas sur les tables de France avant le XIVe siècle. On boit les mets les moins consistants à même l’écuelle, quelques couteaux venant à bout (...)
 
Avant de toucher à aucun mets, les convives se lavaient les mains. Un chambellan, un échanson, des écuyers ou des pages, la serviette sur l’épaule, s’approchaient de la table. Ils tenaient de la main (...)
 
Parmi les objets ornant la table des grands et complétant le couvert, la nef était le plus important. Selon Glaber, le roi Robert II en offrit une à l’Empereur Henri lorsqu’ils se rencontrèrent près (...)
 
Antique coutume superstitieuse, le passage à travers le trou miraculeux, incontournable en Gironde pour soulager ses souffrances, donnait lieu à des offrandes qui furent à l’origine d’abus réprimés (...)
 
Un procès-verbal de visite à l’église de Saint-Jean de Marillais, en Anjou, mentionne que le clergé « avait fait boucher un trou qui est au bas de l’autel pour empescher la superstition qu’aulcuns (...)
 
Au cœur de la Sarthe du XIXe siècle, la « Chanson de la Mariée » marquait un terme au pantagruélique repas de noce durant lequel les convives avaient dégusté les spécialités du pays et présenté leurs (...)
 
Adeptes des longues moustaches, les Francs en pincent au VIe siècle pour les barbes, qu’ils soignent avec un raffinement inouï. Fustigé ou sacralisé, cet ornement subit moult révolutions, tant parmi (...)
 
Tandis qu’à la fin du XIe siècle longs cheveux et barbes étaient à la mode, l’Église s’en montra inquiète. Elle allégua contre les premiers la parole de saint Paul aux Corinthiens : « La nature elle-même (...)
 
Fille d’un roi du Portugal, sainte Wilgeforte aurait vécu au IIe siècle selon certains auteurs qui affirment qu’en âge de se fiancer elle fut très recherchée en raison de sa beauté, mais repoussait tous (...)
 
Station thermale connue depuis l’Antiquité et berceau de la dynastie des Bourbons, la ville gardée par la tour Quiquengrogne voit sa renommée croître amplement au XVIIe siècle grâce à Charles de (...)
 
Bourbon-l’Archambault fut érigée en seigneurie en 509, deux ans après la célèbre bataille de Vouillé, près de Poitiers, dans laquelle Clovis vainquit les Visigoths. Assiégée et prise en 771 par Pépin le (...)
 
Estimée pour ses vertus gustative et curative, elle aurait « pris part » à la Troisième guerre punique et inspira nombre d’expressions. Si la Provence est en France sa terre de prédilection, La (...)
 
On a souvent vanté la fertilité du territoire de Roscoff. Ses légumes et ses primeurs sont connus et appréciés sur les marchés les plus éloignés. Mais le témoignage peut-être le plus remarquable de la (...)
 
En tuiles, plomb ou bardeaux, les couvertures nécessitent précocement le savoir-faire de couvreurs et de plombiers. Coutumiers de la journée de douze heures, les premiers sont placés en 1260 sous (...)
 
Dans les nouveaux statuts accordés aux plombiers en juin 1648, Louis XIV s’inquiétait à l’article 37 de l’achat par des particuliers de « plomb qui se vole tant aux bâtiments que fontaines publiques et (...)
 
En 1744, le nombre des maisons de Paris ayant considérablement augmenté, et le travail de couverture nécessitant plus d’ouvriers, les maîtres voulurent déroger à l’article 5 des statuts de 1566 qui (...)
 
Avant le règne de Charles VI, la morgeline, appelée également mouron des oiseaux ou encore stellaire, était volontiers qualifiée de mauvaise herbe que chacun foulait aux pieds sans y prendre garde (...)
 
Le principe de la population fut une des bases qui servirent aux hommes de la Révolution pour construire leur nouvel édifice. Le bourg d’Argenteuil comptait lors du recensement de l’an III un peu (...)
 
Lorsque d’aventure les gens du peuple se trouvaient en présence d’un pendu, ils pensaient voici encore un siècle se compromettre en coupant la corde hors de la présence d’un officier de justice. Au (...)
 
Le cri d’alarme enregistré au début du XXe siècle face à l’horrible mixture faisant office de lait, n’était pas sans précédent : préoccupé par la fraude croissante, Louis XV avait encadré producteurs et (...)
 
Rituel inspiré du miracle accompli par Clotilde qui au VIe siècle fit jaillir une fontaine miraculeuse aux Andelys, le pèlerinage annuel du 2 juin s’accompagne de nombreuses réjouissances, parmi (...)
 
Lors du pèlerinage de 1798, deux commissaires escortés de quatre gardes nationaux, fusil sur l’épaule, se présentèrent à la fontaine pour mettre à exécution un arrêté municipal venant d’interdire les (...)
 
Lorsque l’Assemblée constituante s’occupa de la division de la France en départements, il fallut choisir des noms pour les nouvelles circonscriptions du (...)
 
Le Dictionnaire des Sciences Occultes de Migne fait remonter l’origine des almanachs prophétiques à ces petits panneaux ornés sur lesquels les peuplades de l’ancienne Germanie et de la Scandinavie (...)
 
Début 1613, fit grand bruit à Paris l’apparition d’une espèce de moine bourru appelé le Tasteur en raison de ses habitudes plus que galantes, et dont les femmes avaient la plus grande peur. Selon (...)
 
En pleine période de moisson, deux moines du couvent de Saint-Martin, situé dans la forêt de Teillay (sur l’Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique) revenaient, sous une chaleur (...)
 
Originellement située dans la prison du Châtelet et lieu de passage des futurs détenus, la Morgue reçoit ses premiers cadavres au début du XVIIe siècle, prenant le relais des Catherinettes. Corps et (...)
 
En 1736, le Procureur du roi ayant été informé que « depuis quelque temps il s’est répandu un bruit dans le public, et surtout parmi les artisans et gens de métier, domestiques ou autres personnes du (...)
 
Nombre d’auteurs décrivirent au XIXe siècle le « flot perpétuel de vivants qui viennent regarder les morts ». Les hommes entrent carrément, jettent un coup d’œil sur chaque cadavre et passent ; les (...)
 
Bien qu’observées et expliquées rationnellement dès l’Antiquité, les apparitions subites de batraciens lors des pluies d’été justifient jusqu’au XIXe siècle une croyance tenace : ces animaux tombent du (...)
 
Jean Peltier, physicien né à Ham (Somme) en 1745, écrivit en 1834 à l’Académie des sciences pour citer un fait dont il avait été témoin dans sa jeunesse. Il observait un orage s’avancer sur sa ville (...)
 
Inspirant à Alexandre Dumas l’un de ses truculents héros, Faria entre à Paris en 1788, avant de vitupérer sous l’Empire contre le magnétisme animal lors de conférences ouvertes au public. Véritable (...)
 
Peu avant la Révolution, Mesmer magnétisait ses malades, ou directement par des passes, ou indirectement par son valet-toucheur, soit par un arbre qu’il avait magnétisé sur le boulevard Saint-Martin, (...)
 
Dans un article intitulé « Mœurs parisiennes » paru le 21 août 1813, Etienne de Jouy dénonçait violemment la doctrine de l’abbé Faria, selon lui apôtre du somnambulisme, qui avait choisi la salle des (...)
 
Armés de dagues et d’épées, les écoliers rennais du XVIIe siècle s’illustrent par leurs dangereuses frasques, terrorisant la nuit les bourgeois, bloquant l’accès à leur collège en vue d’obtenir une (...)