On a le singulier usage, dans la Sologne, de piquer le marié et la mariée jusqu’au sang, pendant la célébration de la messe, pour s’assurer, d’après le plus ou moins de sensibilité qu’ils témoignent en cette circonstance, quel sera des deux le plus jaloux. L’époux ne laisse pas sa femme passer elle-même l’anneau de mariage à son doigt : c’est lui qui se charge de cette opération, et il a le plus grand soin de l’enfoncer jusqu’à la troisième phalange...
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