LA FRANCE PITTORESQUE
AURILLAC
(Notice sur la ville d’)
et ses établissements de bienfaisance
(par Crémont-Brieu)
Publié le samedi 23 juillet 2011, par Redaction
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La faim pousse parfois à la barbarie. Du XIe au XIVe siècle, les disettes et les famines se suivent sans cesse. Pour s’en sortir, deux méthodes. Pour certains, le végétarisme est de rigueur : faire du pain avec un chouia de farine noyé dans de la terre ou brouter feuilles et herbes. Pour d’autres, la chair reste vitale : le seul moyen est de manger les siens ; c’est ainsi que l’on voit des mères faire rôtir leur progéniture.

Au IXe siècle, le château est sans défense. Son investigation est fréquente : le comte Ademare y pénètre sans difficulté ; l’« impie » Adelme l’envahit par deux fois. Enfin, au XIXe siècle, « la coquetterie et la force des châteaux du Moyen Age » métamorphosent celui d’Aurillac : pont-levis, créneaux, mâchicoulis, abîmes, tours et donjons...

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Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.

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