Après que les juges aient apposé leurs signatures et paraphes au bas de la transcription de l’interrogatoire de Marion, la prisonnière est emmenée. Elle est nu-pieds, en chemise, marche péniblement parce que ses pieds et jambes, brûlés, la font beaucoup souffrir. Par pudeur on noue au-dessus de ses genoux une grosse corde, et cette corde qui l’enserre contribue à lui rendre la marche...
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