LA FRANCE PITTORESQUE
Finis coronat opus
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Publié le mercredi 4 mai 2016, par Redaction
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S’emploie en bonne et en mauvaise part pour marquer que la fin d’une chose est en rapport avec le commencement.

« Vous avez connu ce jeune homme à Paris. Vous savez quelle fut sa vie : excès, désordres, scandales de toute nature. Fatigué de lui-même, après avoir fatigué les autres, il a cherché dans les voyages un remède à un incurable dégoût. Il vient de se brûler la cervelle à Saint-Pétersbourg : Finis coronat opus. » (Revue de Paris)

« Ce dix-neuvième siècle, que les uns ont appelé le siècle des lumières, d’autres le siècle de la grande vitesse, a vu naître la navigation à vapeur, les chemins de fer, la photographie, la télégraphie électrique ; il cherche encore l’art de diriger les ballons, c’est-à-dire la navigation aérienne, et il la découvrira : Finis coronat opus. » (Galerie de littérature)

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Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.

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