De l’Arbre charmeur cachant selon Jeanne d’Arc une mandragore, à la fontaine des Fées adulée des fiévreux, en passant par la chapelle témoin des prières de la Pucelle ou encore l’ermitage dont jamais on ne trouva trace, le Bois-Chenu semble bruire d’échos magiques et enjôleurs.
Si la superficie du Bois-Chenu de Domremy (Vosges) au XVe siècle reste inconnue, la Revue de Jeanne d’Arc nous révèle que les sires de Bourlémont possédaient sur ce Haut-Mont des centaines d’arpents « où les habitants avaient leurs usages, tant pour leurs affouages que pour bâtir ». Un faux Journal d’un bourgeois de Paris, tenu par un ennemi de Charles VII, rapporte...
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