La Londe-les-Maures pourrait se résumer à ses trois kilomètres de plages de sable fin ou à son vignoble qui occupe les deux tiers du territoire communal. Mais ce serait faire fi de son passé industriel qui se lit encore dans les noms de lieux comme l Argentière ou le chemin des Annamites.
Il y a un siècle, quand La Londe-les-Maures, alors quartier excentré de Hyères, a obtenu son indépendance, la somptueuse plage arborée de l Argentière était une mine. Une gare desservait alors la cité et une usine d’armement allait s’installer au lieu-dit les Bormettes. Dans les Maures, on exploitait encore le bois et on récoltait le liège.
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