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19 novembre 1770 : mort de l’académicien Jean-Antoine Paradis de Moncrif

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19 novembre 1770 : mort de l’académicien
Jean-Antoine Paradis de Moncrif
Publié / Mis à jour le dimanche 18 novembre 2012, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

Paradis de Moncrif, né à Paris en 1687, membre de l’Académie française, donna d’abord au Théâtre Français une comédie intitulée : l’Oracle de Delphes, qui fut reçue avec les plus grands applaudissements. Mais la pièce fut défendue à la quatrième représentation, à cause de quelques plaisanteries que l’auteur s’était permises sur la religion païenne, et dont on faisait des applications scandaleuses.

Il s’adonna ensuite au genre lyrique : parmi les succès qu’il eut en ce genre, on doit surtout distinguer celui de Zélindor, un des plus grands dont les annales de l’Opéra conservent la mémoire. Sa pièce intitulée : le Rajeunissement inutile, ou la fable de Titon et de l’Aurore, est une des plus agréables productions que la délicatesse et la sensibilité réunies puissent dictera un poète.

Son Essai sur la nécessité et les moyens de plaire, quoique plein de raison, de maximes sages, et quelquefois de réflexions fines, n’eut cependant qu’un succès médiocre. Il peut être de quelque secours aux jeunes gens, pour leur donner une expérience anticipée, et leur faire éviter des ridicules dont il leur importe de se garantir.

Moncrif doit sa principale réputation à ses romances si connues et si touchantes, que personne n’a pu égaler jusqu’ici, et qui, pleines de sentiment et de naïveté, le sont en même temps de finesse et de goût. Parmi ces romances, où les âmes tendres retrouvent avec tant de plaisir leurs sentiments et leur langage, elles paraissent chérir de préférence celle d’Alix et d’Alexis, qui est un chef-d’œuvre de simplicité, de naturel et d’intérêt.

 
 
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