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7 novembre 1817 : mort du savant Jean-André Deluc

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7 novembre 1817 : mort du
savant Jean-André Deluc
Publié / Mis à jour le dimanche 4 novembre 2012, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

L’un des plus célèbres physiciens du XVIIIe siècle, né à Genève, le 8 février 1727, voué au commerce, mais entraîné vers les sciences, jusqu’à l’âge de quarante-six ans, Deluc partagea son temps entre les travaux de son état et ses études favorites : jusqu’à cet âge, il ne quitta sa patrie que pour quelques voyages d’affaires et quelques excursions scientifiques dans les Alpes.

Jean-André Deluc

Jean-André Deluc

Néanmoins il avait fondé sa réputation sur la publication de quelques ouvrages importants. Il avait commencé avec son frère, Guillaume-Antoine Deluc, une belle collection d’histoire naturelle et surtout de minéralogie, augmentée successivement par les deux frères et par le fils du dernier, chez lequel elle se conserve encore à Genève.

Jean-André Deluc enrichit la géologie et la météorologie de plusieurs découvertes intéressantes : il construisit un hygromètre, substitua le mercure à l’esprit de vin dans le thermomètre de Réaumur, et contribua beaucoup à rendre familière la mesure de la hauteur des montagnes, au moyen du baromètre portatif dont il fut l’inventeur.

Comme citoyen, comme membre du conseil des deux-cents, il ne laissa pas des souvenirs moins honorables dans les affaires publiques, qu’il n’en avait laissé dans les sciences comme observateur et inventeur. Un dérangement de fortune ne fut pour lui qu’une occasion de se livrer tout à fait à sa vocation véritable, et de mettre en pratique la philosophie dont son âme, profondément religieuse, était nourrie. De l’Angleterre où il se rendit en 1773, et où il fixa sa résidence, en qualité de lecteur de la reine, il fit plusieurs voyages en Suisse, en France, en Hollande, en Allemagne, et revint mourir à Windsor, âgé de quatre-vingt-onze ans.

 
 
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