Histoire de France, Patrimoine, Tourisme, Gastronomie, Librairie
LE 19 mars DANS L'HISTOIRE [VOIR]  /  NOTRE LIBRAIRIE [VOIR]  /  NOUS SOUTENIR [VOIR]
 
« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
NOUS REJOINDRE SUR...
Nous rejoindre sur FacebookNous rejoindre sur XNous rejoindre sur LinkedInNous rejoindre sur VKNous rejoindre sur InstragramNous rejoindre sur YouTubeNous rejoindre sur Second Life

Livre histoire ORGÈRES (Histoire de la bande d') par A.-F. Coudray-Maunier

Vous êtes ici : Accueil > Librairie : Monographies > Eure-et-Loir (Centre) > ORGÈRES (Histoire de la bande d')
Librairie : Monographies
Monographies d’histoire locale. Catalogue ouvrages, livres villes et villages de l’Eure-et-Loir (Centre)
ORGÈRES (Histoire de la bande d’)
(par A.-F. Coudray-Maunier)
Publié / Mis à jour le vendredi 29 juillet 2011, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

Le XVIIIe siècle n’a pas seulement été l’époque des lumières et de la Révolution française : il fut aussi l’ère de la violence crapuleuse et du brigandage ; Cartouche et Mandrin, tous les deux roués vifs, demeurant les exemples les plus célèbres de ce banditisme actif. Toutefois, les hommes et les femmes de la bande d’Orgères, dont cet ouvrage nous retrace l’histoire, sont bien différents de leurs illustres prédécesseurs : chez eux, qu’ils s’appellent Fleur- d’Épine ou le Beau-François, Quatre-Sous ou Jacques-d’Étampes, Tranche-Montagne ou Tue-Tout, il n’y a aucune volonté de s’attaquer aux puissants, comme Cartouche ou aux représentants des autorités, comme Mandrin ; tous ont poussé dans les ornières du crime, en un temps propice aux désordres, aux saccages et aux tueries et ils forment une véritable société parallèle, vouée aux pillages et aux meurtres, avec leurs codes, leur langage, leurs rites et leurs règles implacables.

Réfugiés vers le milieu du XVIIIe siècle dans les forêts du Loiret et de Seine-et-Oise, d’abord vagabonds et mendiants, ils deviennent peu à peu, l’oisiveté et la rapacité aidant, des bandits organisés en troupes et ils écument les campagnes environnantes. Décimés par la maréchaussée et voyant leurs chefs, comme les fameux Renard et Robillard, condamnés à l’échafaud, au gibet ou à la roue, ils ne se dispersent pas pour autant et bientôt, après l’hécatombe judiciaire de 1783, c’est près de 500 hommes qui, sous l’autorité de Fleur-d’Épine et du Beau-François, préparent leurs coups dans les forêts de Boisseaux...

 
 
Même section >

Suggérer la lecture de cette page
Abonnement à la lettre d'information La France pittoresque

Saisissez votre mail, et appuyez sur OK
pour vous abonner gratuitement
Éphéméride : l'Histoire au jour le jour. Insertion des événements historiques sur votre site

Vos réactions

Prolongez votre voyage dans le temps avec notre
encyclopédie consacrée à l'Histoire de France
 
Choisissez un numéro et découvrez les extraits en ligne !