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Le carnet intime d'Honoré de Balzac. Vidéo

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Patrimoine de France
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Carnet intime (Le)
d’Honoré de Balzac
(Source : Le Point)
Publié / Mis à jour le samedi 12 juillet 2014, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 
 
 
De 1830 à 1847, l’écrivain nota toutes ses pensées, ses humeurs, ses idées de romans dans un cahier qu’il nommait son « garde-manger »

Chacun des cinquante-six feuillets composant ce carnet est couvert d’une écriture fine et resserrée. Quelques croquis illustrent un texte désordonné. Durant les dix-sept ans que Honoré de Balzac consacra à sa grande œuvre La Comédie humaine, l’écrivain ne se sépara jamais de ce carnet où il notait tout ce qui lui passait par la tête : ses idées, ses pensées, ses humeurs. C’était son iPad à lui...

Les notes sont écrites dans tous les sens, illustrant la pensée bouillonnante de l’artiste. Il barre, raye, dessine des plans d’appartement, et même une belle paire de fesses féminines. Évoquant ce carnet, Balzac le surnommait affectueusement son « garde-manger ».

Le carnet intime d'Honoré de Balzac

Le carnet intime d’Honoré de Balzac

Un jour, il griffonne : « Sujet du Père Goriot. - Un brave homme - pension bourgeoise - 600 francs de rente - s’étant dépouillé pour ses filles qui toutes deux ont 50 000 francs de rente, mourant comme un chien ». Tout est dit. Il n’a plus qu’à délayer durant des nuits de travail en buvant des litres de café pour produire un chef-d’œuvre.

La grande gueule Balzac savait aussi être fleur bleue. Témoin, cette petite fleur mauve collée au bas d’une page accompagnée de la note : « Voyage du Simplon en 1846 » ; doux souvenir d’un séjour suisse en compagnie de madame Hanska...

Frédéric Lewino et Anne-Sophie Jahn
Le Point

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