LE JEU DE PAUME
           ÉTOURDIT LE ROYAUME

Ancêtre du tennis, le jeu de paume se pratique dans les cloîtres avant de séduire les monarques qui légifèrent lorsque l'exercice, gagnant le peuple, devient source d'addiction et de contrefaçon. Avec la raquette, la création des tripots et le statut de « profession » que lui confère François Ier, la paume mène le jeu avant d'essuyer un revers, boudée par Louis XIV.

Opposant deux ou plusieurs individus se renvoyant une balle avec la main, un gantelet, un battoir puis plus tard une raquette, la paume était appelée sphéristique chez les Grecs en raison de sa figure ronde. Si les héros de l'Odyssée d'Homère (VIIIe siècle av. J.-C.) la pratiquent, Hérodote en attribue l'invention aux Lydiens et Pline, qui en fait honneur à un certain Phytus, nous apprend que les Romains avaient établi des sphéristères dans lesquels ils se livraient à cet exercice...

 
CONTÉ BRISE LE MONOPOLE
           ANGLAIS DU CRAYON MODERNE

Utilisé dès le XIe siècle, le crayon de plomb est bientôt détrôné par celui de plombagine, anglais et préfigurant le crayon moderne, avec sa mine entourée de bois et ne déchirant pas le papier, l'Histoire retenant pourtant le nom de l'ingénieux Conté qui, en 1795, s'illustre dans cette industrie.

De temps immémorial on se servit de poinçons de métal pour régler le parchemin et obtenir une écriture régulière, mais le papier connu, on s'aperçut que cette méthode présentait le défaut de couper la nouvelle matière. Si dès le commencement du XIe siècle, on se servit, en France, en Italie et ailleurs, de petits cylindres taillés en pointe ou crayons de plomb, leur utilisation se répandit avec le développement des applications du papier...

 
AVÈNEMENT DU NUMÉROTAGE
           DES RUES ET DES MAISONS

Empruntant leur nom qui à un édifice remarquable, qui à l'activité y étant exercée, qui à une particularité quelconque, les rues de Paris reçoivent leurs premières plaques en 1728 au prix de quelques plaintes, tandis que le numérotage des maisons, pourtant expérimenté au XVe siècle sur le pont Notre-Dame, s'imposera avec difficulté à partir de 1726.

Les premiers noms des rues de la capitale étaient Le chemin vert, Le chemin aux vaches, Le chemin des meuniers, Le chemin qui va à Montmartre, La rue qui va à Seine, La rue aux bœufs, etc. Puis, comme il y avait beaucoup de chemins verts et de rues où passaient des bœufs, on fut plus précis, et l'enseigne...

 

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